Petit texte trouvé tout par hasard sur le site : https://scientifix.wordpress.com/
Franchement, je n’aurais pas dis mieux.
Pourquoi vouloir opposer boxe thaï et krav ?
Parce que le second est une escroquerie dans tous les sens du terme. Une pure arnaque de (censuré) ! Ce monde (celui des sports de combat : arts martiaux), je le connais très (trop) bien. Le krav, je l’ai vu naître. Disons plutôt « sortir d’un chapeau de magicien » (j’ai failli dire d’une kippa de magicien).
Du jour au lendemain, une « école » était née. On lui trouva une pseudo histoire qu’on fit remonter au ghetto de Varsovie. Les premiers instructeurs, tous issus de la communauté israélite française, venaient des boxes, karatés, judo, et autres « vraies » techniques. Pas des fusées, et, souvent même pas des instructeurs ! À l’époque (il y a seulement une vingtaine d’années) tous les pays devaient avoir un « art martial » national. Obligé. Ce qui permettait aux membres des diverses communautés d’ouvrir des salles de leur truc spécifique, sans qu’on puisse savoir s’ils faisaient n’importe quoi (généralement d’ailleurs) puisque c’était un « truc à eux ».
Donc, « zappés » les diplômes d’état et jurys de pairs, te renvoyant chez ta mère quand tu étais nul ! Eh bien, nos amis se sont dit : « Pourquoi pas nous ? puisqu’il y a des thunes à prendre ». Après, tout fut traité comme un business. Là, par contre, ils assurent. Grosse pub dans le magazine karaté-bushido (gros tirage dans le milieu), dont le rédac-chef se nommait… Pierre-Yves Benolliel ! Tiens ? Ainsi que dans les magazines de pro-sécurité.
Le mythe était né. « La technique secrète (LOL) de Tsahal (re-LOL) voire du Mossad (re-re-LOL) etc ». Celle qui vous permet de vous débarrasser de tout adversaire dans n’importe quelle situation, qui que vous soyez, moyennant mensuellement la somme de… Ils supprimèrent même, au début, les échauffements et le travail physique (fatigant) ou répétitif (rébarbatif) des cours, car, « dans la rue, on n’a pas le temps de s’échauffer ». Non, mais faire du physique régulièrement à l’entraînement permet d’en avoir dans la rue. Et ne pas cracher ses poumons à la deuxième patate ! Et, déja, en répétant à l’infini un mouvement, on n’est pas sûr de le « ressortir » dans l’adrénaline d’une baston, alors, sans ça… prout, prout.
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